Diplomatie internationale et societe Par Dan Albertini L’autre ÉPÉE DE DAMOCLES

19 June 2015

Entre (), Hillary Rodham Clinton aura beau vouloir ou prétendre un plan personnel au féminin pour l’Amérique, qu’elle ne pourra jamais se distinguer ainsi. Se débarrasser du patronyme de Clinton, sera un pari aussi risqué que de tenter d’écarter Bill. C’est d’ailleurs contre ce dernier que le clan Bush lance des invectives pour miner les Démocrates car, Bill à lui seul aura réussi ce que ses alter ego n’ont su. Fermons les ().

Laurent Salvador Lamothe peut-il naviguer encore plus loin en Haïti ? Sinon vers où : ambitions, prévisions, déceptions. La houlette ne rassure ni le bâton. Il eut son temps de gloire, éphémère. Elle justifiait tout, même cette ambition trop haut perchée. Je l’ai pourtant soulevée dans ‘’Le MAE un Bateau sans Capitaine’’ comme dans ‘’Le Procès Salvador’’. Celui-ci était une critique fictive d’un scénario imaginaire où, je disais que le film est un ictus amnésique. Il y eut d’autres ambitions confirmées. Lamothe s’accaparait de tous les pôles d’expertises nationaux après la démonstration de la fausse notion « la diplomatie d’affaires ». Nonobstant la mention diplomatique de la région ibérique et caribéenne. Plus de trois États, c’est un crédit international. En abattant maladroitement ses cartes personnelles à l’INAGHEI, il se condamnait lui-même, malgré l’appréciation d’une certaine presse traditionnellement égarée. Bill Clinton lui-même aura beau tenté de faire l’apologie de Lamothe que nous reconsidèrerons le pire de notre côté. Ce sont ses mots à la Primature, contre l’hebdomadaire Haïti Observateur, je cite un extrait : « avec virulence ». Nous avons toujours soutenu un fait depuis : s’il a attaqué ainsi la presse, il y aura alors un prix. C’est pour nous un principe sacré.

Revenons aux traces numériques évoquées dans le scénario plus haut cité. Elles devraient dévoiler. Ceux d’un courant religieux diraient de cette gloire aujourd’hui, citant la Bible : « oh mort où est ton aiguillon ». Traduction créole, vous la connaissez : fè wè pa diré. Une fois de plus, la presse internationale haïtienne à l’étranger ne serait encore de ses faveurs à ce quotidien. Nous ne voulons nullement le tancer. Mais avouons-le, elle ne saurait dire aujourd’hui : oh Lamothe, où est ta diplomatie ? Se vouloir génie de la diplomatie internationale mais ne savoir lire de sa propre griffe haïtienne. Puis l’État. Pourrait-il en outre expliciter ses liens avec Jean Fombrum Geoffrion de Global Voice Groupe, dont la gestion du portail désactivé de la Présidence www.presidence.ht. Un axe de la visibilité diplomatique haïtienne. L’hyperlien récupéré du Facebook du Palais National l’affiche aujourd’hui encore premier ministre et du gouvernement. Quelle responsabilité, quelle continuité de l’État souverain ! Pourquoi Lamothe persiste-t-il alors, ce malgré l’épée de Damoclès qui tend, selon l’hebdomadaire Haïti Observateur ? Ce quotidien de Port-au-Prince n’en siffle mot surfin.

Laferrière et l’épée. Nous avons ainsi besoin de nous analyser avant d’aller plus loin, L’épée nouvelle ne souffrira nos faiblesses. Si nous souffrons d’un problème de conscience, ce n’est pas le génie au profit d’une véritable diplomatie haïtienne qui fait défaut. L’autre épée de Damoclès peut paraître une notion farfelue pour certains ou du remplissage pour d’autres. En effet c’est Sur la Route du Cinéma que j’ai signé LES DIAMANTS SONT ÉTERNELS pour saluer l’élection de Laferrière . À Paris, je précise pour ne citer La Chute d’une Étoile en parlant de la journaliste de Match. Pour taire aussi. Quelle curiosité cependant quand je parlais de l’empreinte des canons disponibles pour notre diplomatie. J’évoquais les canons phénoménaux comme ceux métaphysiques, entre autres canons avant de le profiler dans une lettre au président Hollande, que l’épée de Dany devrait être la réplique symbolique de celle de Louverture du point de vue de récupération s’il souhaitait l’amitié en partage. J’ignorais à ce stade, ce besoin Laferrière d’y inscrire un vèvè haïtien. Considérons son discours de présentation, mieux, d’affirmation. Si oui, dans quel sens ? L’art de dire ou d’écrire, bravo Dany dit-on. Ajoutons d’être aussi. Mais, Laferrière peut-il livrer seul, quand il a dû attendre Bianciotti passer l’arme à gauche, c’est-à-dire bêcher réellement au pays sans chapeau, pour devenir de l’immortalité matérielle un pronom. JE. Par devant le grand protecteur de l’Ordre. Le président de la République, Ve en cette ère numérique.

C’est dans la dimension de la récupération de nos standards que nous devons considérer le poids de cette culture en émergence. De là, Monestime en Floride où Hillary se serait empressée de l’enrôler pour sa campagne couleur Key West. Question conjoncturelle : lui faut-il ce mois de septante jours du calendrier haïtien pour livrer dans le bastion de Bush ? Si Bush passe d’abord. Puis, si les alliés de BHO ne lui réservent une artillerie lourde, qu’un faux communiste aux primaires. Exemple, la rumeur d’une audition de Marc Villain, soit en Haïti, soit aux USA. Était-il de la gestion de la Clinton Fondation in Haïti, ou Bush le lui rappellera-t-il, du temps de Florida Black Business Support Corporation/Metro Boward Capital Corporation, Inc, (CDFI), quand la ARC est un indice de suspicion ou un signe des temps ? Ce n’est une boutade, d’ailleurs tels primaires inexercées, telle présidentielle inexpérimentée. C’est aussi l’autre épée de Damoclès qui doit relever un défi de taille. Mais, une fois de plus, Lamothe en Haïti semble servir plutôt d’épée de Damoclès pour Clinton, d’après l’hebdomadaire H-O de New York.

Serons-nous conséquemment sous l’effet de cette épée, sur notre tête en termes d’échec ou de panne de génie, que solidairement avec cette nouvelle franco-amitié, sur la tête du génie du Code noir, si nous nous assurons des Grands Procès de l’Histoire. Mettons-nous tous nos œufs dans le même panier ? Alors, quid de se faire comprendre d’abord, Martelly revendique La Havane et Caracas. Mais, avons-nous compris l’autre entre faits et gestes face à notre incapacité de gérer un portail web présidentiel ? La diplomatie de l’Oncle nous réserve-t-elle des faces cachées ou des intentions cachées quand nous remarquerons trop tard le péché de faiblesse de Martelly que constitue ce besoin égoïste de vedettariat. L’autre épée de Damoclès, la honte. Comment ?

Quand nous avions parlé de la fausse note de la coopération canadienne qui faisait de préférence dans l’espionnage fiscal dans les eaux haïtiennes. Nous avions précisé aussi l’extension américaine en partage. Haïti peut-elle réclamer son droit de retour de cette coopération ? Qui sont ceux qui ont déposé soit sous un nom d’emprunt, soit en leur nom personnel, des sommes en provenance d’Haïti, sans enquête, dans le but de savoir si l’argent provenait de…. L’État haïtien a-t-il ainsi gagné ou perdu, d’après Martelly ? Le Directeur du Budget aura-t-il le courage d’étaler les coûts de cette extravagance… Sommes-nous là alors nous Haïtiens, à l’image de Laurent Salvador Lamothe ?

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