Espace L’Harmattan Jeudi 22 juin 2017 à 19h30 Invitation | Avant-Première | Cinéma De l’inconvénient et du bonheur d’être artiste de Marcel Grodwohl et Sylvie Dubal

17 juin 2017

Vous êtes chaleureusement conviés à l’avant-première De l’inconvénient et du bonheur d’être artiste, un film sur une grande dame à découvrir, Sylvie Dubal, en sa présence.

Le film
De l’inconvénient et du bonheur d’être artiste, témoigne des liens intimes qu’entretiennent la peinture et l’écriture chez Sylvie Dubal.
C’est un film dans lequel, peintures et écritures sont en dialogue fructueux, entre l’art figuratif et le réalisme narratif. Original et personnel, c’est aussi un portrait de l’écrivain.
On comprend combien la peinture, permet à Sylvie Dubal écrivain, de voir, d’entendre, de mettre en vie, des couleurs, des mouvements en scène.
Peintre, Sylvie Dubal devient personnage, acteur de sa propre vie. Chargé d’un sens et d’un message, chaque tableau, dessin, texte, devient pour elle, un moyen d’expression qui suscite notre intérêt par sa vision de la peinture et de l’art.
Avec les voix de grands comédiens du théâtre français, parmi lesquels les voix d’Emmanuelle Riva, Denise Gence, Jacques Franck..., c’est un voyage dans une œuvre d’une grande valeur éthique. L’œil du réalisateur explore les thèmes, le travail, l’identité spirituelle et la personnalité de l’écrivain.

Un film qui honore surtout le désir de Sylvie Dubal d’immortaliser à jamais par la grâce de ce film, des personnages et des vies si particulières qui ont partagé sa vie. F. Guemiah

Sylvie Dubal

Peintre et écrivain suisse, Sylvie Dubal est aussi française de cœur. Auteur dramatique et nouvelliste, elle réside et travaille entre Genève, Paris et en Ardèche.

« Ce qu’il faut noter dans le travail de l’artiste genevoise Sylvie Dubal, c’est la fidélité à une tradition ; mieux, à un classicisme : une figuration précise, minutieuse même, un réalisme net, aigu ; une technique à l’huile, la plus traditionnelle qui soit, c’est-à-dire un travail de très longue haleine, avec fréquemment l’emploi de glacis. Ici, point de déformations brutales, point d’outrances formelles, mais un réel buriné de vérité, en quelque sorte un académisme au sens noble et fécond du terme : cette vision dit que le tragique est la permanence de l’histoire humaine. Indéniablement, les œuvres de Sylvie Dubal font immédiatement songer à un passé ; un lien est établi - techniquement et formellement - avec une éternité, le musée imaginaire malrucien ».
Sylvio Acatos. Éditeur, journaliste et critique d’art vaudois.

Variations d’un cœur si plein d’Humanité, les images de la vie de Sylvie Dubal font écho aux tumultes de l’Univers. Dans un dialogue attachant avec sa mère, elle convoque les promesses du grenier de son enfance, interroge les déraillements de ce qui a été et explore les contours de ce qui advient. Car tout être s’inscrit comme il se lit, diversement ».
Osama Khalil. Philosophe. Directeur de l’Espace L’Harmattan à Paris