DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIETE Par Dan Albertini Montréal. Compromission et quinquennats d’incertitude pour 1 MAIRE pourri sur 2 ?

8 August 2013

Entre (). Faudra-t-il commencer par inventer le Musée Mondial Carnaval à Montréal, pour instruire sur la façon d’implémenter les vrais instruments de développement économique réel, avant qu’on entame conséquemment la création de son comité maître ? Là où il se doit d’être. Triste que de dire plus tard : au regret ! Ce serait dommage et dommageable, de laisser comprendre que le génie appartient à certains, mais pas à d’autres. Fermons les ().

Montréal. Quand la citée décide de puiser au hasard, recette et menu font la table. Montréal, quelle est ta recette ? Après fusion et dé-fusion, le citoyen attendait un nouveau menu. Autre que << vaincre la pauvreté >> transformé en plénière, en << combattre la pauvreté >>. Les eaux ont coulé sous les ponts. Elles étaient usées. Qui alimentaient en amont ? Copinage, réseautage, braconnage, sans partage, taxage, barrage, dé-nivelage, bétonnage, coffrage, saupoudrage, zonage, etc. Oui, décembre 2009 est au passé. Je publiais sur Réseau HEM International : << Montréal a peur d’être Grand >>. Nous avions en fait un Maire handicapé de vision. Et du braconnage, alors la faillite. Octobre 2009 est du passé aussi. J’écrivais ceci, pour la même édition mais canadienne : << Où ira donc Montréal si le maire est élu dépassé ? >>. Oh que si, même Maire, même vision. Quelle horreur ! Une affaire de caisse de parti alimentée en taux de pourcentage, alors qu’on se croyait montréalais. Reculons, septembre 2009, je titrais : << Montréal en panne sèche de sang neuf pour son prochain Maire >>. Le Maire réélu par défaut, nous avions vu ce qu’en était du, comme on dit en anglais américain : << big mess >>.

Où ira Montréal /post mortem 3 novembre 2013l/, si le Maire élu est dépassé ? La question demeure pertinente après l’interrogation de 2009, qui relativisait la triste réalité. Actualisons. Le maire a/avait certainement réalisé de bonnes choses de son mandat écoulé mais, loin d’être efficace dans un monde aux frontières repoussées. Montréal a/avait besoin d’un maire dynamique, non pas d’un retraité de Grappes Industrielles. Risquons-nous le scénario du pire, de la catastrophe, avec un autre retraité mais, un démagogue dérivé de politique fédérale de commandite perdante ? Loin de la suggestion, de l’induction démagogique, mon vote est d’abord et tout simplement : NON à Denis Coderre. Car, Montréal est encore et surtout avec lui, en panne sèche de sang neuf pour son maire, en 2013.

Le génie bâtisseur a-t-il disparu de chez nous ? Ou, sommes-nous tributaires de spasmes de réveil, trop courts, qui poussent tendancieusement vers un suicide référendaire ? Non par obligation démocratique progressiste, mais pour nourrir un virus. La séparation par défaut à Québec, comme nouvel élixir politique. Quand on considère la grande Montréal Internationale qui héberge nombre d’hasardeux politiques égarés dans leurs pensées gaullistes/gauloises des années éculées, récupérant comme succès politique, la nouvelle frénésie participative de néo Canadiens, depuis leur statut d’immigrants reçus, découvrant l’espace liberté jamais vécu dans leur pays de naissance et d’origine, comme s’il existait une sexualité politique qui se dévoile aux frais du Canada-Québec distinct, ah j’en suis. On tentera de comprendre pourquoi Coderre. Le trou vide qui se remplit du trop plein de la rivière d’eaux usées. Quand on considère donc ces profiteurs dans la grande Montréal Internationale diversifiée, réclamant l’acte référendaire comme béatitude pour faire accuser par la suite le << vote immigrant >> au même titre que celui de l’argent, parce que dans la laine il n’y aurait pas seulement des dupes, et, sous leur laine à eux, le néo Canadien aurait découvert autre drap que celui de la politique et de la démocratie, Montréal doit comprendre qu’il existe mieux qu’un maire endormi, dépassé et, démissionnaire. En effet, d’où Coderre. Terminons, par les besoins d’une génération qui doit prévoir plus loin que l’horizon d’un mandat, Montréal n’a pas à avoir peur, elle doit traverser les /fakes/ frontières. On en parlera de Montréal-Nord, même laine, même dérivé. Comté provincial Bourassa-Sauvé, rappelons-nous, Villeray-St.Michel-Parc-Extension, même vision. Serait-ce l’effet d’une mauvaise langue péquiste, ou la réalité de financement illégal, comme tant de Libéraux déjà dénoncés ? Vivra, verra, c’est le boulot des SQ-GRC. Le citoyen a donc le droit de savoir pour ne pas alimenter ces eaux. Montréal International ne s’arrête pas à quelques enfants de la loi 143 dans une administration, pour une ville avec un potentiel aussi élevé.

Insistons sur 2009. Montréal doit comprendre qu’il existe mieux qu’un maire endormi et dépassé par les besoins d’une génération qui doit prévoir plus loin que l’horizon d’un mandat. Montréal n’a pas à avoir peur, elle doit traverser les frontières. Je m’accorde encore raison, de faire dans les mêmes conclusions, quatre ans plus tard. Rien n’a changé du paysage électoral. C’est le même pattern des postulants d’un siècle éculé.

Considération personnelle. Il y a fort à parier qu’avec un maire tel que Coderre, le Noir restera toujours du statut d’immigré, comme l’immigré de Genève, bronze de l’artiste sénégalais, dans une ville où il aura grandi, mieux, pris naissance. Car nous savons tous, qui est cet homme sournois, nous connaissons sa pensée fondamentale. Pro italien. Montréal est donc effectivement et définitivement en panne sèche de sang neuf pour son prochain maire.
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