DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIETE Par Dan Albertini HAITI 1 ILE 1 ILE MAIS 2 REPUBLIQUES OU LA RD UNE LECON DE CHOSE POUR LA Rd’H

18 December 2013

Entre (), Les Républicains de Boehner à la Chambre des représentants à Washington vont-ils voter la loi ou un segment sur la légalisation des immigrants non criminels vivant en sursis aux Etats-Unis, av/ap Noël ? Il y a fort à parier que, si oui, les résultats seront beaucoup plus favorables aux Républicains, lors des prochaines élections de mi-mandat. Si la tendance partisane racontée en faveur de l’autre est tendancieuse et manipulatrice. Fin de ().

Cardenal Lopez Rodriguez : << Aquí mandamos nosotros, no Francia, ni EU ni nadie >>.
Lo que veremos, señor rodriguez Rodriguez y Rodriguez. (Ce que nous verrons)

ONU – Commission des Droits de la Personne / Durban 2001
<< Sachant que la prohibition de la discrimination raciale, du génocide, du crime d’apartheid et de l’esclavage ne souffre aucune dérogation, comme il ressort des obligations découlant des instruments internationaux pertinents relatifs aux droits de l’homme >>. << affirmant que le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l’intolérance qui y est associée, dans les cas où celles-ci équivalent au racisme et à la discrimination raciale, constituent des violations graves de tous les droits de l’homme et des obstacles à la pleine jouissance de ces droits ainsi qu’une négation d’une vérité évidente, à savoir que tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits >>.
Point 26. << Nous affirmons la nécessité de mettre fin à l’impunité pour les violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales de personnes et de groupes qui sont victimes de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée; >>.
Point 84. << Nous condamnons la persistance et la résurgence du néonazisme, du néofascisme et des idéologies nationalistes prônant la violence et reposant sur les préjugés raciaux ou nationaux, et déclarons que ces phénomènes ne peuvent se justifier en aucun cas ni en aucune circonstance; >>

Révision en 2009
Point 13 - Réaffirme que toute apologie de la haine nationale, raciale ou religieuse incitant à la discrimination, à l’hostilité ou à la violence doit être interdite par la loi, réaffirme en outre que toute propagation d’idées reposant sur la notion de supériorité raciale ou sur la haine, l’incitation à la discrimination ainsi que les actes de violence ou l’incitation à commettre de tels actes doivent être érigées en infractions tombant sous le coup de la loi, conformément aux obligations des États. Il devrait y avoir sanction dans le cas de la RD. Qui a mené cette campagne politique déguisée en acte de haine nationale légale ?

Si j’ai évoqué la pensée de l’ancien président Leonel Fernandez, dans le contexte de l’avenir des deux Républiques, je suis tout de même flatté de le voir réagir de sitôt. Voici ce que rapporte le quotidien dominicain ‘’Listin Diario’’ : << La República Dominicana no puede ser un país racista porque está integrada por un pueblo mulato, y un pueblo mulato significa un intercambio racial entre negros y blancos >>, proclamó Fernández al pronunciar el discurso central en el acto de 40 años de fundación del PLD que se efectuó frente al Cementerio Ornamental de La Vega, donde descansan los restos del ex presidente Juan Bosch, fundador de esa organización >>. Traduction. La RD ne peut être un pays raciste parce qu’elle est un pays d’intégration du mulâtre, par la voie des Noirs et des Blancs.
Mais, Leonel devrait admettre que l’auteur des guillemets, Lopez Rodriguez, avait perdu la foi en s’immisçant dans le monde temporel en politicien attaché à un bout de terre. Il porte donc en grande responsabilité, le fardeau de la guerre des mots qui ont créé les maux de la guerre ouverte entre deux frères. Deux frères, oui, Leonel ne l’a-t-il pas dit en évoquant avec nuance, l’origine de la libération de l’île sous le joug de l’esclavage issu du Code noir.
Toujours selon Listin Diario : << Recordó que fue en territorio dominicano donde se produjo la primera revolución de esclavos negros en todo el planeta. >>.

Je persiste et signe que Leonel est une importante clé dans la solution. Mais, il doit modérer son langage quand il dit que la RD est un peuple mulâtre, même s’il précise que cela vient du Noir et du Blanc unis en conséquence. Certains lecteurs précoces manquent de concentration et risquent de lire seulement la première partie et conclure incidemment. De plus, il y a eu offense grave et agression ouverte. Il y a un coût.

Haïti doit hors de tout doute, tracer un exemple, international, sur la RD. C’est une question de principe. Mieux, la Diplomatie Haïtienne doit réclamer du Vatican, le déplacement du cardinal Lopez Rodriguez, vers un autre pays. Idéalement, je dirais moi-même, vers New York, pour qu’il apprenne ce qu’est la négritude dans un état de droit. La gestion du temporel n’est pas de son mandat.

Casimir doit alors, carrément demander de mettre ‘’ON HOLD’’, le membership de la RD, dans l’immédiat, parce que c’est un acte de nazi pur qu’ils ont opéré. Qui faisait partie de l’émigration allemande depuis l’entre deux guerre là-bas, jusqu’après la période nazi. La Diplomatie israélienne serait de bon office en ce sens.

Y aurait-il un espace de détente salutaire ? Oui. J’ai en effet déjà parlé des rails du développement. Partant des deux capitales, ils se rencontreraient, sur un axe d’indexage. La France serait partenaire car sa technologie ferroviaire est déjà sur l’île, et, un contentieux historique est à régler. Un négociateur du calibre de Nicolas Sarkozy serait utile. Ce serait un signe de détente qui démontrerait hors de tout doute, que le dialogue est encore possible, mais surtout désiré. Que la RD serait disponible et disposée. Même équation pour la France. Il faudrait alors suivre l’évolution pour constater dans la rigueur. L’indexage des deux pointes qui se rencontreraient pour s’aligner sur le même standard. Son passage bâtirait ou renforcerait des villes déjà existantes. La connexion établirait de manière irréversible le développement insulaire par une extension économique vitale pour l’île. Alors là, on ne parlerait plus de simple détente mais de fraternité insulaire et historique, tel que semble vouloir le dire l’ami Fernandez. Casimir ou tout autre chancelier haïtien, pourrait ainsi régler CONTENTIEUX. Israël l’a réussi avec les américains, l’Afrique flirt bien avec Alstom.

lovinsky2008@gmail.com