DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIETE par Dan Albertini dan.albertini@reseauhem.ca Obama, une erreur électorale grave et lourde de conséquence
Entre (). Le président Hollande et le dossier DSK vont-ils faire partie d’un débat international sur la thèse du complot ? Et, la presse française a-t-elle peur de soulever cette interrogation quand elle se justifie par une réponse de Hollande face à Sarkozy : << Je ne pouvais pas savoir sa vie privée >>. C’est tout de même étonnant quand l’affaire Tristane Benon était un secret de Polichinelle. C’est encore plus curieux quand la femme de DSK créditée comme une journaliste exercée aurait ignoré le tout alors que la police et les proxénètes étaient dans le voisinage. C’est réellement surprenant, cet acharnement sur le président Sarkozy tandis que le vrai bénéficiaire devient le discret président Hollande, et, que sa réponse à DSK, << pas irresponsable >> est riche en interprétation. Même si ce que nous appelons ‘’DSK, the next blue’’ (le prochain ciel bleu) n’est encore révélé. La révélation du protocole qui prévoyait une première dame, mariée, moralité républicaine, est-elle un indice à décharge sur Hollande candidat qui ne croyait en sa victoire ? Si DSK n’est plus dans les bras, il est toujours dans les pattes. Est-il déjà interdit de parler de ce communiste à l’Elysée. Fermons les ()
Le président Obama signe-t-il sa défaite mais, pire, un acte qui va placer l’Amérique sur des cordes raides dans le monde turbulent de l’Islam radical, dans la Global Governance, en reconnaissant l’acte de mariage non hétéro ?
Le président Obama aurait-il pris goût au pouvoir du Bureau ovale, au point de mettre en danger l’Amérique, pour une simple affaire personnelle de réélection ? Si le bon chrétien risque de voter contre lui à cause de cette reconnaissance opportuniste, rappelons que Bush avait lui-même évité cette décision, la radicalisation islamique risque de s’empirer, nous a laissé comprendre un spécialiste du Moyen-Orient. Celui-ci verrait là un prétexte qui servira aux extrémistes tempérés et même à des modérés, de reconsidérer le discours qui fait des Etats Unis une porte du diable condamné.
Le brillant sénateur devenu chef de la Maison Blanche savait probablement que Romney était perçu comme homophobe par rapport à un acte de jeunesse. Inconscient et avide de votes, Obama aurait tout simplement validé la rumeur qui veut que Clinton le considéra comme un amateur en politique. Il aurait par ce geste, mis en échec toute la diplomatie américaine au Moyen-Orient tandis qu’il partait favori, par la grâce de cette grande victoire sur Ben Laden.
Comment verra-t-on les nouveaux époux et épouses de diplomates américains au Moyen-Orient ?