DIPLOMATIE INTERNATIONALE ETSOCIETE par Dan Albertini lovinsky2008@gmail.com Canada, quand le gouvernement est inefficace

3 August 2012

Entre () Il serait intéressant de passer à autre chose que de tergiverser sur un dossier militaire quand la République ne se respecte pas, ne respecte pas sa charte fondamentale. La question ne serait en réalité, si le président tiendra sa promesse ou pas. Ce n’est pas une question de développement mais c’est une prescription. Je crois d’une part que le président répondra par le simple fait d’avoir voulu être militaire dans sa jeunesse. C’est l’objet de son prestige personnel comme celui d’un fantasme à abattre. Et d’autre part, il n’a ria rien à voir avec la légalité, son comportement sème le doute en matière de vision. Cependant, quand nous avions mesuré la marmite du président à celle du premier ministre, en rapport avec la police nationale, nous avions un document authentique en main. Ce pourquoi nous publions aujourd’hui, une partie qui démontre l’état de l’institution policière en Haïti. C’est ce qui aurait fait réagir Lamothe qui, de source raisonnable, serait débordé depuis son premier portefeuille, et, encore plus aujourd’hui, avec insouciance politique (PM). Ses anciens partenaires d’affaires n’arrivent plus à le rejoindre depuis deux mois. D’où nous le croyons et nous persistons, l’erreur de se précipiter vers une guerre d’influence avec le président. Fermons les ()

Canada
Un rapport de la CIA qui provient d’une simulation de fin de pouvoir, c’est le cas de le dire, 2030 serait la date buttoir de la chute de l’empire américain. Il y a de cela plus ou moins 9 ans que je disais que : << si l’Amérique ne se recrée pas…. >> C’est fait, selon la CIA, l’Amérique ne se reproduira pas d’ici 2030 mais d’autres nations grandiront et le bousculeront. Que fait le Canada pendant ce temps-là ?

Dans trois mois, cela fera exactement 5 ans depuis que je prenais position sous la forme suivante : << Canada, un appui pour gouverner, peut-on s’engager ? >> Il fallait accorder la chance au coureur, c’était Stephen Harper. Je poursuivais : << Qui n’a été au pouvoir, d’ailleurs, a été élu, possède déjà un certain pouvoir, un mandat. Dans le sens de pouvoir faire et de réaliser des choses c’est essentiellement le but de cet exercice de représentation populaire. Le Canada a un gouvernement en ce sens, et un parlement élu aussi. On s’attend à plus que de la politique partisane, on s’attend à de l’énergie bien dépensée. Le défis internationaux comme les exigences au domestique, du moment, font appel à la cohésion et à la concertation. Il y aurait certes de l’amélioration à apporter mais le moment n’est guère au putsch >>.
Le Canada inquiète aujourd’hui avec un gouvernement exclusif et un Québec autocrate avec Jean Charest, au lieu de préparer l’avenir de ses enfants.

Si nous étions en Syrie, le Canada aurait condamné la loi 78, si nous étions en Chine, le Canada aurait jugé la loi 78, quand nous étions en Irak de Saddam, en Libye de Kadhafi, en Egypte de Moubarak, le Canada avait déjà condamné ce genre d’attitude. Ne mentionnons Cuba et évitons e parler de l’Iran. Nous sommes au Québec le gouvernement conservateur qui devrait assurer le leadership de la fédération canadienne, a supporté l’ancien conservateur Jean Charest devenu transfuge libéral au Québec pour faire reculer le Québec. De combien d’année ? Il sera trop tard quand nous en viendrons au constat, pour un bilan de la perte de démocratie. Quand le 5 octobre 2007 j’ai signé comme éditeur pour une autre édition canadienne, un article intitulé : << Un appui pour gouverner >>, certains m’ont cru vendu. Je crois que la position tenait du bon sens car nous ne pouvons nous trouver constamment au milieu de partis faibles et de leaders incapables de s’entendre sous le couvert d’une opposition légitime. Je disais aussi que : << Comprenons que cela n’empêche la politique partisane saine ni l’hilarité d’opposition, défendant ses couleurs, dans le sens de convoiter le pouvoir-exécutif, dans la légitimité. Légitimité des ambitions, légitimité de la représentativité >> Je poursuivais : << Les affaires de l’État étant un facteur commun en politique, il faut accorder la chance au coureur, tout en réclamant du rendement >>.

Le gouvernement Harper comme celui de Jean Charest au Québec ont trahit cet appui pour s’enfoncer dans la crasse couleur Pinochet. C’est de l’hystérie politique. Si nous ne faisons pas attention aujourd’hui avec cette tentation totalitaire, un jour ce sera des disparitions après des interrogations policières qui fouillent les sacs des pères de famille. Ah oui ! La notion de famille est aussi valable comme dans l’esprit de la loi sur la fiscalité. Je me répète aujourd’hui : << Tout en respectant les limites ou les ambitions de chacun, il serait temps, soit de céder la place aux plus capables, soit d’intégrer l’esprit canadien, soit de briguer pour réussir. Non pour rester par défaut en vertu de la démocratie canadienne >>. C’était à prévoir quand à l’époque je disais encore que : << Le Bloc a fait un choix délibéré de refuser la grande francophonie canadienne, pour un vieux rêve éculé, lequel rêve n’a su rassembler tous les Québécois qui ont déjà dit non. Menacer de faire écrouler, sous prétexte de défendre nos intérêts, relève de l’incohérence >>.
Nous payons le prix aujourd’hui, ce pourquoi mieux préparer demain. C’est là encore notre avis !

Entre () Il serait intéressant de passer à autre chose que de tergiverser sur un dossier militaire quand la République ne se respecte pas, ne respecte pas sa charte fondamentale. La question ne serait en réalité, si le président tiendra sa promesse ou pas. Ce n’est pas une question de développement mais c’est une prescription. Je crois d’une part que le président répondra par le simple fait d’avoir voulu être militaire dans sa jeunesse. C’est l’objet de son prestige personnel comme celui d’un fantasme à abattre. Et d’autre part, il n’a ria rien à voir avec la légalité, son comportement sème le doute en matière de vision. Cependant, quand nous avions mesuré la marmite du président à celle du premier ministre, en rapport avec la police nationale, nous avions un document authentique en main. Ce pourquoi nous publions aujourd’hui, une partie qui démontre l’état de l’institution policière en Haïti. C’est ce qui aurait fait réagir Lamothe qui, de source raisonnable, serait débordé depuis son premier portefeuille, et, encore plus aujourd’hui, avec insouciance politique (PM). Ses anciens partenaires d’affaires n’arrivent plus à le rejoindre depuis deux mois. D’où nous le croyons et nous persistons, l’erreur de se précipiter vers une guerre d’influence avec le président. Fermons les ()

Canada
Un rapport de la CIA qui provient d’une simulation de fin de pouvoir, c’est le cas de le dire, 2030 serait la date buttoir de la chute de l’empire américain. Il y a de cela plus ou moins 9 ans que je disais que : << si l’Amérique ne se recrée pas…. >> C’est fait, selon la CIA, l’Amérique ne se reproduira pas d’ici 2030 mais d’autres nations grandiront et le bousculeront. Que fait le Canada pendant ce temps-là ?

Dans trois mois, cela fera exactement 5 ans depuis que je prenais position sous la forme suivante : << Canada, un appui pour gouverner, peut-on s’engager ? >> Il fallait accorder la chance au coureur, c’était Stephen Harper. Je poursuivais : << Qui n’a été au pouvoir, d’ailleurs, a été élu, possède déjà un certain pouvoir, un mandat. Dans le sens de pouvoir faire et de réaliser des choses c’est essentiellement le but de cet exercice de représentation populaire. Le Canada a un gouvernement en ce sens, et un parlement élu aussi. On s’attend à plus que de la politique partisane, on s’attend à de l’énergie bien dépensée. Le défis internationaux comme les exigences au domestique, du moment, font appel à la cohésion et à la concertation. Il y aurait certes de l’amélioration à apporter mais le moment n’est guère au putsch >>.

Le Canada inquiète aujourd’hui avec un gouvernement exclusif et un Québec autocrate avec Jean Charest, au lieu de préparer l’avenir de ses enfants.

Si nous étions en Syrie, le Canada aurait condamné la loi 78, si nous étions en Chine, le Canada aurait jugé la loi 78, quand nous étions en Irak de Saddam, en Libye de Kadhafi, en Egypte de Moubarak, le Canada avait déjà condamné ce genre d’attitude. Ne mentionnons Cuba et évitons e parler de l’Iran. Nous sommes au Québec le gouvernement conservateur qui devrait assurer le leadership de la fédération canadienne, a supporté l’ancien conservateur Jean Charest devenu transfuge libéral au Québec pour faire reculer le Québec. De combien d’année ? Il sera trop tard quand nous en viendrons au constat, pour un bilan de la perte de démocratie. Quand le 5 octobre 2007 j’ai signé comme éditeur pour une autre édition canadienne, un article intitulé : << Un appui pour gouverner >>, certains m’ont cru vendu. Je crois que la position tenait du bon sens car nous ne pouvons nous trouver constamment au milieu de partis faibles et de leaders incapables de s’entendre sous le couvert d’une opposition légitime. Je disais aussi que : << Comprenons que cela n’empêche la politique partisane saine ni l’hilarité d’opposition, défendant ses couleurs, dans le sens de convoiter le pouvoir-exécutif, dans la légitimité. Légitimité des ambitions, légitimité de la représentativité >> Je poursuivais : << Les affaires de l’État étant un facteur commun en politique, il faut accorder la chance au coureur, tout en réclamant du rendement >>.

Le gouvernement Harper comme celui de Jean Charest au Québec ont trahit cet appui pour s’enfoncer dans la crasse couleur Pinochet. C’est de l’hystérie politique. Si nous ne faisons pas attention aujourd’hui avec cette tentation totalitaire, un jour ce sera des disparitions après des interrogations policières qui fouillent les sacs des pères de famille. Ah oui ! La notion de famille est aussi valable comme dans l’esprit de la loi sur la fiscalité. Je me répète aujourd’hui : << Tout en respectant les limites ou les ambitions de chacun, il serait temps, soit de céder la place aux plus capables, soit d’intégrer l’esprit canadien, soit de briguer pour réussir. Non pour rester par défaut en vertu de la démocratie canadienne >>. C’était à prévoir quand à l’époque je disais encore que : << Le Bloc a fait un choix délibéré de refuser la grande francophonie canadienne, pour un vieux rêve éculé, lequel rêve n’a su rassembler tous les Québécois qui ont déjà dit non. Menacer de faire écrouler, sous prétexte de défendre nos intérêts, relève de l’incohérence >>.
Nous payons le prix aujourd’hui, ce pourquoi mieux préparer demain. C’est là encore notre avis !